Dans cette courte note adressée à l’Académie des sciences de 1908, Heike Kamerlingh Onnes rend compte de la première liquéfaction de l’hélium qui lui vaudra le prix Nobel en 1913. Il atteint alors une température d’environ –271,5°C, soit un peu plus de 1 degré au-dessus du zéro absolu.