La question « que valent les logarithmes de nombres négatifs ? » admettait en ce XVIIIe siècle des réponses incompatibles ; mais chacune étayée par des arguments réfléchis. Euler va relayer les deux principaux points de vue (Bernoulli et Leibniz), appelés sentiments, les contester...
Sans s’attacher précisément au texte, l’auteur nous livre une description de la vie et de l’œuvre de Fourier, ce mathématicien impérial (et positiviste ?,selon Comte) longtemps resté oublié.