C’est ici une véritable somme, comme son nom l’indique, qui couvre tous les domaines de l’arithmétique, et qui a véritablement donné en Italie l’essor au nouveau calcul, écrit, rendu possible par l’arrivée des chiffres arabes. L’extrait choisi concerne un certain nombre de procédés de multiplication (une dizaine !, dont la fameuse multiplication par jalousie) proposés par Pacioli.
C’est un professeur à la Sorbonne qui, consulté par IBM France au moment de la mise en production en France de ses premières machines, propose le terme « ordinateur » pour les désigner.
Les principes de calcul de Babbage, exposés en français par Menabrea suite à une réunion à Turin. On y retrouve les idées qui seront au fondement du calcul électromécanique puis électronique du XXe siècle (le moulin, pour le processeur actuel ; le magasin, pour la mémoire actuelle).
Leibniz décrit dans ce texte sa machine arithmétique, sur laquelle il travaillait dès sa jeunesse, et qui permet de faire les multiplications en décalant une partie mobile d’un cran vers la gauche, comme lorsqu’on pose une multiplication à la main.
Ce manuscrit exceptionnel apparaît à ce jour comme la plus ancienne évocation d'un calculateur binaire, à l’instar de ceux que nous utilisons aujourd’hui. Car, comme nous le rappelle Leibniz dès 1679, pour multiplier des 0 et des 1, point n'est besoin de connaître la table de multiplication décimale !
Ce document est le « mode d’emploi » d’une des premières machines à calculer, la « pascaline ».
Une enquête sur le problème dit de décimation, attribué à Flavius Josèphe, et la façon dont il est repris par divers mathématiciens à travers les âges.