Sans s’attacher précisément au texte, l’auteur nous livre une description de la vie et de l’œuvre de Fourier, ce mathématicien impérial (et positiviste ?,selon Comte) longtemps resté oublié.
Où l’on revient, à la lumière des connaissances actuelles, sur certains apports déterminants de Poincaré : le chaos, l’importance des probabilités – et, en partie, la relativité ; ses positions novatrices comme ses positions conservatrices ; ses apports en physique pratique (TSF, théorie du signal) aussi bien qu’en physique théorique. Poincaré fait partie des savants, assez rares, qui ont beaucoup apporté à la fois à la physique et aux mathématiques.
Dans ce texte, le prix Nobel R. Feynman introduit, par l’intermédiaire des vecteurs, la notion de symétrie en physique.
Euler défend Maupertuis, président de l’Académie des sciences de Berlin, à propos de la paternité du principe de moindre action, en 1744. Ce principe variationnel (minimisation d’une intégrale), formalisé mathématiquement par l’équation d’Euler-Lagrange en 1760, est fondamental en physique et trouve son application dans de nombreux sujets de statique, de dynamique, d’optique ou d’électromagnétisme (courbe de la chaînette, courbe brachistochrone, trajet de réfraction de la lumière, mirages optiques, loi de Poisson en électrostatique, loi de Kirchhoff en électricité,…).