À propos d’un livre de Bouasse, Duhem étudie les rapports entre mathématiques et physique, et dénonce la particularité française de l’enseignement de « mécanique rationnelle » rattaché aux mathématiques.
Montaigne est un des rares hommes de lettres à soutenir, dans ses Essais, l’héliocentrisme de Copernic paru une quarantaine d’années auparavant. Sa position à l’égard de la science peut être vue comme l’émergence d’une attitude scientifique moderne.