Ce texte de vulgarisation scientifique explique la cause du bruit du tonnerre : pourquoi, alors que l’éclair est instantané, le tonnerre qui le suit n’est pas une détonation instantanée, et dure un certain temps ?
En deux articles de 1831 et 1835, Coriolis met en évidence la notion de « force d’entraînement » et de « forces centrifuges composées » ; ces dernières prendront le nom de force de Coriolis, permettant d’expliquer les phénomènes les plus divers de rotation d’un repère par rapport à un autre (...
Démonstration originale d’un résultat géométrique de concourance de droites par l’utilisation des propriétés des résultantes de force en statique.
Dès 1803, Laplace donne l’expression de la future force de Coriolis (1835), dans le contexte du problème débattu depuis Galilée de la déviation des corps lâchés d’une certaine hauteur – une déviation, aussi minime fût-elle, était une preuve supplémentaire de la rotation de la Terre sur elle-même...
Une histoire de feuilles de thé, de la tasse de Frau Schrödinger à la couche de neige finalement tombée pour les Jeux Olympiques d’hiver à Innsbruck en 1964.
Entre 1794 (création de l’École polytechnique) et 1830, une catégorie particulière anima un âge d’or de la science en France : celle des « ingénieurs-savants ». Savants → ingénieurs, ils appliquent leurs connaissances scientifiques à l’industrie issue de la révolution industrielle. En retour (...
Reconstitution possible d’une dérivation des (futures) « forces de Coriolis » dans les Principia de Newton, à partir de l’approche totalement géométrique de celui-ci, via notamment la loi des aires.
Tel est pris qui croyait prendre : quand Joseph Bertrand accuse feu Coriolis (mort 5 ans auparavant) de plagiat de Clairaut cent ans avant lui (1742), à propos de l’idée de force centrifuge composée (plus tard « force de Coriolis »). Que Bertrand relève certes à juste titre une erreur de...